Nouer des alliances en vue des municipales
Odile
de Mellon et Gilles Pennelle.
« Nouer des alliances avec
les élus locaux qui l’accepteront en vue des élections
municipales de 2020 et préparer les départementales de l’année
suivante », telle est la « stratégie » annoncée,
ce mardi, à Saint-Brieuc aux adhérents costarmoricains par Gilles
Pennelle, président du groupe Front national au conseil
départemental et élu national de ce mouvement. Ces rapprochements,
il les imagine surtout avec des membres de Debout la France et des
Républicains qui seraient actuellement « désorientés ».
Gilles Pennelle et Odile de Mellon, déléguée départementale, se déclarent favorables au changement de nom du parti en « Rassemblement national » sur lequel les adhérents (entre 500 et 700 dans les Côtes-d’Armor, selon la déléguée) sont actuellement consultés. « Il ne s’agit pas seulement d’un changement d’étiquette. Le temps du Front, celui où nous étions seuls contre tous, est passé, il s’agit aujourd’hui pour nous de rassembler. Un changement profond est en train de se mettre en place dans les fédérations, y compris au niveau de l’organisation territoriale, qui sera désormais calée sur les cantons », expliquent en substance les deux responsables.
La fermeture de la maternité de Guingamp, le refus de l’accueil de jeunes migrants mineurs à Langourla, et la régularisation sous la pression de l’opinion de clandestins déboutés du droit d’asile à Saint-Brieuc et à Pont-l’Abbé (29) sont les actuels combats du mouvement dans les Côtes-d’Armor.
Gilles Pennelle et Odile de Mellon, déléguée départementale, se déclarent favorables au changement de nom du parti en « Rassemblement national » sur lequel les adhérents (entre 500 et 700 dans les Côtes-d’Armor, selon la déléguée) sont actuellement consultés. « Il ne s’agit pas seulement d’un changement d’étiquette. Le temps du Front, celui où nous étions seuls contre tous, est passé, il s’agit aujourd’hui pour nous de rassembler. Un changement profond est en train de se mettre en place dans les fédérations, y compris au niveau de l’organisation territoriale, qui sera désormais calée sur les cantons », expliquent en substance les deux responsables.
La fermeture de la maternité de Guingamp, le refus de l’accueil de jeunes migrants mineurs à Langourla, et la régularisation sous la pression de l’opinion de clandestins déboutés du droit d’asile à Saint-Brieuc et à Pont-l’Abbé (29) sont les actuels combats du mouvement dans les Côtes-d’Armor.
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