jeudi 31 mai 2018

réunion public du 29 mai


Nouer des alliances en vue des municipales

Odile de Mellon et Gilles Pennelle.
« Nouer des alliances avec les élus locaux qui l’accepteront en vue des élections municipales de 2020 et préparer les départementales de l’année suivante », telle est la « stratégie » annoncée, ce mardi, à Saint-Brieuc aux adhérents costarmoricains par Gilles Pennelle, président du groupe Front national au conseil départemental et élu national de ce mouvement. Ces rapprochements, il les imagine surtout avec des membres de Debout la France et des Républicains qui seraient actuellement « désorientés ».
Gilles Pennelle et Odile de Mellon, déléguée départementale, se déclarent favorables au changement de nom du parti en « Rassemblement national » sur lequel les adhérents (entre 500 et 700 dans les Côtes-d’Armor, selon la déléguée) sont actuellement consultés. « Il ne s’agit pas seulement d’un changement d’étiquette. Le temps du Front, celui où nous étions seuls contre tous, est passé, il s’agit aujourd’hui pour nous de rassembler. Un changement profond est en train de se mettre en place dans les fédérations, y compris au niveau de l’organisation territoriale, qui sera désormais calée sur les cantons », expliquent en substance les deux responsables.
La fermeture de la maternité de Guingamp, le refus de l’accueil de jeunes migrants mineurs à Langourla, et la régularisation sous la pression de l’opinion de clandestins déboutés du droit d’asile à Saint-Brieuc et à Pont-l’Abbé (29) sont les actuels combats du mouvement dans les Côtes-d’Armor.


lundi 23 avril 2018

NON au 80 km/H

  1. L'abaissement à 80 km/h n'est que le résultat et la continuité d'une politique de sécurité routière qui, en poussant les gens à se focaliser sur leur compteur de vitesse et les radars, va à l'inverse de ce qu'elle devrait être : un réseau entretenu, et des conducteurs attentifs à la route - et uniquement à cela.
  1. Cette mesure va encore davantage renforcer le danger et le stress sur la route, en obligeant les gens à rouler à une vitesse manifestement trop basse, et à la même vitesse que les camions.
Le moindre ralentissement - ne serait-ce qu'une côte difficile à grimper pour un poids-lourd - va créer des situations de "bouchons" partout dans le pays, et le stress poussera les conducteurs à agir dangereusement.
  1. Cette mesure d'abaissement a été annoncée dans la précipitation, sous le coup de résultats de sécurité routière exécrables, et depuis, ce n'est que tentatives de rattrapages et justifications douteuses,après une expérimentation honteusement truquée.
Signez au plus vite la Lettre "Non au à 80 km/h !" à Emmanuel Macron, pour lui dire que vous NE VOULEZ PAS de cette mesure absurde, et que nous nous battrons jusqu'au bout ! 
Depuis le début de son mandat, le Président veut montrer qu'il fait preuve d'autorité, et qu'il ne dévie pas des décisions prises. Mais la fermeté, c'est aussi de savoir reconnaître qu'une mauvaise décision a été annoncée, et de savoir dire stop avant qu'il soit trop tard !
D'autant que cet abaissement, contrairement à toutes les mesures qui ont été prises ces derniers mois, n'a JAMAIS été annoncé par le Président avant son élection.
C'est son Premier ministre qui, sous la pression des lobbies anti-vitesse qui réclamaient cet abaissement depuis des années, a décidé l'abaissement à 80 km/h sans aucune concertation.
Et cette mesure fait l'unanimité contre elle :
-Experts et spécialistes de la route : accidentologues, ambulanciers, responsables de voirie...
-Elus de tous bords, y compris de la majorité présidentielle, et à tous les niveaux : maires, présidents de conseils départementaux, députés, sénateurs.
-Commentateurs, journalistes et économistes - car n'oublions pas que le coût économique d'un abaissement généralisé de la vitesse est estimé à 39,5 milliards d'euros !
-Et une écrasante majorité de la population : plus de 3 Français sur 4 sont opposés à l'abaissement à 80 km/h !! Et chaque semaine, la mobilisation s'amplifie dans la rue, avec les manifestations organisées partout en France par les Fédérations de motards, avec notamment le soutien de la Ligue de Défense des Conducteurs.
A ce stade, s'enferrer dans une décision aussi néfaste et autant rejetée, ce n'est plus de l'autorité : c'est de l'autoritarisme !
Ensemble, nous devons clamer notre opposition et notre rejet massif du
80 km/h directement auprès du Président.
Apportez immédiatement votre signature à la Lettre au Président "Non au 80 km/h !" :
sign lettre ldc
Et, après avoir signé, aidez s'il vous plaît l’association à recueillir très vite au moins 100 000 et, je l'espère 200 000 signatures à notre Lettre au Président, en transférant cet email, et, si vous le pouvez, en faisant un don à la Ligue de Défense des Conducteurs.
Il faut que les signatures affluent rapidement et massivement, pour qu'Emmanuel Macron mesure à quel point notre colère est grande, et que le Président et ses services constatent directement le refus massif des Français de l’abaissement à 80 km/h !
Il l'a dit lui-même : il lit les correspondances qui lui sont adressées et en tient compte.
Alors, nous devons, ensemble, lui  montrer que la réelle autorité, c'est de savoir renoncer à une mesure irréfléchie et néfaste, plutôt que d'enfermer les Français dans une décision d'abaissement qui sera nocive à tout le pays, et d'autant plus là où la voiture est indispensable au moindre déplacement.
Nous ne pouvons pas laisser le Président dire que passer de 90 à 80 n'aura aucune conséquence sur les trajets des Français. C'est faux, et vous et moi le savons bien.
Pour un artisan qui passe ses journées sur la route, c'est une heure de chantier perdue par jour. Pour une infirmière ou un médecin de campagne, ce sera 3, 4 ou 5 patients en moins par jour, dans des zones où se soigner est déjà compliqué. Pour chacun de nous, c'est un trafic ralenti et des trajets parfois considérablement rallongés avec de longues files derrière des véhicules lents impossibles à doubler. Etc, etc...
Et tout ça pour quoi ? Pour ne pas déjuger une annonce précipitée d'Edouard Philippe...Ce n'est pas acceptable.
Alors, s'il vous plaît, cliquez-ci-dessous pour, à votre tour, apporter votre signature à cette Lettre au Président :
sign lettre ldc
Et ensuite, n'oubliez pas de partager cet email à vos contacts pour qu'ils signent à leur tour la Lettre au Président.
Si nous n'agissons pas maintenant, dans quelques semaines, il sera trop tard.
Je compte sur vous.
Combativement,
Nathalie Troussard
Secrétaire générale


logob
Ligue de Défense des Conducteurs - 23, avenue Jean Moulin 75014 Paris - 01.43.95.40.20
L'association ne peut agir que grâce aux dons des personnes qui participent aux actions de défense qu'elle organise. Si vous souhaitez faire un don, vous pouvez le faire en toute sécurité en cliquant ici
Vous recevez ce message car vous êtes abonné à notre liste d'envoi. Si toutefois vous souhaitez désinscrire marinelepen@yahoo.fr, cliquez ici : Désabonnement
 

jeudi 11 janvier 2018

Pétition

Chers amis,
Le gouvernement s'en prend encore une fois aux automobilistes. En baissant la limitation de vitesse à 80 km/h, il leur assène un nouveau coup après la hausse des carburants, le nouveau contrôle technique et l'inflation du coût des PV.

Marine Le Pen et le Front National ont décidé de réagir en lançant une pétition. La vidéo de Marine, annonçant notre action a déjà été vue plus de 600.000 fois sur Facebook en moins d'une journée, ce qui est un record. Le lien Facebook vers cette vidéo est le suivant :https://www.facebook.com/MarineLePen/videos/2023906214292359/ . Relayez-là le plus largement possible

Nous devons tous ensemble faire de cette pétition un succès retentissant!
Pour cela, imprimez le tract ci-dessous pour récolter des signatures.

mardi 5 décembre 2017

Le député des Côtes d'Armor Hervé Berville (LREM) découvre en direct ce qu’est la « prime de Noël »


Le député Hervé Berville (LREM) découvre en direct ce qu’est la « prime de Noël »


Le député (LaRem) Hervé Berville était pour la première fois l’invité de Jean-Jacques Bourdin ce lundi sur BFMTV et RMC. Interrogé sur la reconduction de la prime de Noël, l’élu des Côtes-d’Armor assure d’abord ne pas en percevoir. « Pas vous, mais les Français?« , lui rétorque alors Jean-Jacques Bourdin. « Je n’ai pas d’informations sur ce sujet (…) Je pense qu’elle sera reconduite« , conclut Hervé Berville.


vendredi 17 novembre 2017

Deux hommes s'introduisent dans le Carmel de Verdun et exhortent les sœurs à se convertir à l'islam

FAIT DIVERS. Le Carmel de Verdun a été victime la semaine dernière d'une intrusion d'islamistes, relate L'Est Républicain vendredi 17 novembre.
Les deux hommes seront jugés en avril prochain.

Les faits se sont déroulés le 10 novembre dernier. Au moment de l'office des vêpres, deux individus d'une trentaine d'années, barbus et en jeans basket, se sont présentés à l'accueil du Carmel de Verdun (Meuse), rapporte jeudi 16 novembre L'Est Républicain. "Ils ont demandé (à la sœur à l'accueil, ndlr), s'ils pouvaient aller dans la chapelle. Elle a dit oui", explique l'évêque de Verdun, Mgr Gusching.


Une fois dans la chapelle, "ils ont prié en arabe pendant les vêpres", poursuit l'homme de foi. "Ils se sont présentés comme des annonciateurs et leur ont dit : si vous ne vous convertissez pas, vous irez en enfer". L'un d'eux "aurait rédigé les mots 'Allah Akbar' sur le livre d'or de l'église", selon le procureur de la République de Verdun Guillaume Dupont. Puis, ils sont repartis "en remerciant la sœur pour son accueil", précise l'évêque.

JUGÉS LE 28 AVRIL PROCHAIN

Un incident qui fait automatiquement penser à l'attentat de l'église de Saint-Étienne-du-Rouvray du 26 juillet 2016. Fort heureusement, il n'en est rien. Les deux hommes n'ont pas usé de violences envers les sœurs et "aucun lien avec le terrorisme islamiste n'a été démontré", écrit le quotidien. 

Les deux hommes ont tout de même été interpellés à Verdun le lendemain et placés en garde à vue avant d'être déférés deux jours plus tard. Placés sous contrôle judiciaire, ils ont été libérés et seront jugés par le tribunal correctionnel de Verdun le 28 avril 2018. Tous les deux encourent une peine de trois ans d'emprisonnement et 45.000 euros d'amende.

L'IMAM DE VERDUN CONDAMNE FERMEMENT L'INCIDENT 

Selon l'imam de Verdun, Abdelkrim Aïtelkaid, "le plus jeune s'est converti il y a deux ou trois mois". Les deux hommes sont venus un jour à la mosquée "et ne se sont pas comportés normalement. Ce jour-là, je n'étais pas là, mais la communauté les a un peu arrêtés et mis dehors", explique-t-il, précisant être allé voir par la suite le plus jeune "pour lui expliquer que ce n'est pas comme ça que l'on fait". 

L'imam a par ailleurs condamné leur intrusion dans le Carmel de Verdun. "Ça ne se fait pas de faire ça. Ce n'est pas normal. On ne va pas violer la sacralité d'un lieu de culte", s'insurge-t-il, assurant qu'il irait voir "prochainement voir les sœurs et l'évêque".