jeudi 26 octobre 2017

Partis en Syrie, des jihadistes français touchaient toujours leurs allocations

Le Figaro révèle qu'un Français sur cinq ayant rejoint les rangs de Daech aurait continué à percevoir des allocations sociales. Pire, le groupe terroriste serait passé maître dans l'art du financement grâce à des fonds publics venus d'Europe. En réponse, une unité spéciale de la police traque ces fuites d'argent.
On savait déjà que les combattants de Daech organisaient des opérations terroristes grâce à des crédits à la consommation, comme ce fut le cas pour l'attaque de l'Hyper Cacher en janvier 2015, financé grâce à un prêt Cofidis. Désormais, on apprend que le terrorisme profite aussi de l'argent public. Dans son édition du jeudi 26 octobre, Le Figaro publie une enquête sur ces fonds publics qui atterrissent dans les caisses de l'EI. Le quotidien révèle que la France a continué à verser des allocations à des familles qui avaient pourtant quitté le territoire pour rejoindre le camp des jihadistes. Environ 20% des combattants français partis au Moyen-Orient en ont bénéficié, précise Le Figaro.

CE constat a été dressé par une unité spéciale de la police, rattachée à la Brigade criminelle, dont la mission est de traquer le financement du terrorisme. Le chef de ce service a donné des explications au Figaro sur ce phénomène : "Quand un individu rejoint une filière, il coupe son téléphone, achète des billets et vide son compte car, dans son esprit, il s'agit d'un départ sans retour". Mais la famille et l'entourage resté en France "sont sollicités pour faire acheminer de l'argent frais", a précisé le policier. 
Les parents récupèrent les aides et les envoient en Syrie
"Munis de leurs cartes avec photos, des parents percevaient les fonds venant de Pôle emploi ou de la caisse d'allocation familiale avant de les envoyer par mandat en direction des zones de combats via la Turquie notamment", a encore expliqué le chef d'unité. Un mécanisme bien rodé, indispensable à l'État islamique pour assurer sa survie. 

"En pleine déroute dans les zones de combat, l'État islamique n'a plus de revenus propres depuis qu'il a perdu la main sur le commerce du coton et du pétrole, décrypte ce policier en col blanc. L'organisation ne peut donc plus rétribuer ses combattants comme avant alors que ceux-ci doivent payer toujours leurs logements, leur nourriture et même leur équipement", a détaillé le policier. Au total, le trafic de fonds publics se chiffrerait à plus de 2 millions d'euros, dont 500.000 euros seraient partis de France entre mi-2012 et mi-2017, conclut Le Figaro.

Le Conseil d'État force une mairie à retirer la croix d’une statue

Laïcité. La commune de Ploërmel, dans le Morbihan, doit procéder au retrait d'une croix surplombant une statue de Jean-Paul II.

C'est ce qu'on appelle une interprétation très restrictive de la laïcité. Après 11 années de recours, le Conseil d'État a confirmé, mercredi 25 octobre, l’injonction prononcée en première instance de retirer une croix surplombant une statue de Jean-Paul II installée sur une place de Ploërmel (Morbihan). Offerte en 2006 par l'artiste russe Zurab Tsereteli au maire de l’époque, le monument - qui fait près de huit mètres de haut -, ne respecte pas la loi de séparation des Églises et de l’État, explique le Conseil d'État.

samedi 21 octobre 2017

L’ex-préfet de Bretagne était "trop fatigué" pour déclarer ses revenus

Un an de prison avec sursis et 50 000 € d’amende ont été requis, vendredi, à l’encontre de Jean Daubigny, l’ex-préfet de Bretagne (2007-2009) et des Pays de la Loire (2009-2012), poursuivi pour fraude fiscale.
« Ce soir, je suis trop fatigué, je le ferai demain » Jean Daubigny a ainsi repoussé sine die, depuis 2011, ses déclarations de revenus. C’est l’explication donnée, vendredi, au tribunal correctionnel de Paris par l’ancien préfet de Bretagne (2007-2009) et des Pays de la Loire (2009-2012). Il comparaissait avec sa femme pour omission volontaire de déclarer ses ressources entre 2011 et 2014, pour un montant d’impôts impayés de plus de 190 000 €.

Regrets

Des faits que le couple n’a jamais contestés. Malgré les « mises en demeure et contacts répétés de l’administration fiscale », il n’y a « pas eu de réaction de votre part, vous qui exerciez alors des fonctions importantes dans l’État?» s’interroge le président.
Jean Daubigny, assume, dit « regretter » tout en étant incapable de s’expliquer. Il répète son « état de fatigue lié à des fonctions extrêmement intéressantes mais intenses. Je ne m’occupais pas de ma vie personnelle ». Précisant avoir régularisé la situation pour les faits qui lui sont reprochés de 2011 à 2014, il indique ne toujours pas avoir déclaré ses revenus pour les années 2015 et 2016… Incompréhension encore.
« État dépressif sévère »
Un médecin a conclu à un « état dépressif sévère », reprend le président et parle de « procrastination dans la vie privée ». L’ancien préfet n’a pas fait valoir ses droits à la retraite depuis 2015. Ce qui montre qu’il n’est pas un fraudeur, note son avocat Jean Veil, qui souligne « l’omission de déclaration des revenus, pas la dissimulation. C’est moins grave ». Le procureur estime que la fatigue « n’empêche pas de déclarer et de payer ses impôts ».
Il a requis un an de prison avec sursis et 50 000 € d’amende. Jugement le 3 novembre.

jeudi 19 octobre 2017

Côtes d’Armor : Ouest-France fait la promotion de clandestins afro-musulmans se revendiquant de gangs noirs

Côtes d’Armor : Ouest-France fait la promotion de clandestins afro-musulmans se revendiquant de gangs noirs
Photographie publiée par Ouest-France de clandestins « mineurs » (les signes de gangs en rouge)
BREIZATAO – NEVEZINTIOU (17/07/2017) Le journal Ouest-France, largement impliqué dans le soutien à l’immigration clandestine afro-musulmane, a récemment commis un article dans lequel la rédaction se félicite de l’augmentation du nombre de migrants accueillis dans le département des Côtes d’Armor (voir ici).
Le journal a donc publié une photographie de ces clandestins accueillis en libérateurs par le gouvernement central et ses administrations dans le département, sous les acclamations de la presse d’état.
Las, il s’avère que plusieurs subsahariens ainsi célébrés par Ouest-France ont déjà une certaine idée de leur avenir sur le sol breton : constituer des gangs ethniques. On peut en effet voir deux africains faire des signes de reconnaissance et d’affiliation propres aux gangs noirs américains (voir photo ci-dessus).
La police de l’état de Floride propose un guide basique (source) des signes de reconnaissance des gangs ethniques américains. Le clandestin subsaharien à droite de la photo fait le signe « Eastside » (Côte Est), en référence aux gangs de la côte atlantique des États-Unis.
On dénombre des centaines de ce type de signes de reconnaissance parmi les gangs les plus violents de la planète comme les « Bloods » de Los Angeles, de composition afro-américaine.
Les lecteurs d’Ouest-France auront reçu là un avertissement sur ce qui les attend, grâce aux réseaux organisant la colonisation de peuplement.

mercredi 18 octobre 2017

un sexagénaire détroussé par trois migrants de 12 ans

Brest (29) : un sexagénaire détroussé par trois migrants de 12 ans

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Peu avant 15 h ce jeudi, un Brestois de 62 ans qui venait de retirer du numéraire au CMB de la rue Jean-Jaurès, s’est fait aborder par deux adolescents rue Navarin. Après lui avoir demandé des cigarettes en le serrant de très près, le binôme a finalement été rejoint par un troisième larron qui a profité de l’agitation pour lui dérober son portefeuille et les 80 euros qu’il contenait.

Des mineurs isolés d’origine étrangère


Au vu du descriptif précis effectué par des témoins, les services de police ont rapidement interpellé les trois jeunes dans le quartier de Saint-Martin. Le trio fait partie de la vague de mineurs isolés étrangers qui sévit de façon récurrente dans l’ouest, notamment à Rennes et à Brest. Le trio a été placé en retenue judiciaire, en attendant qu’une décision soit prise à leur sujet.

dimanche 15 octobre 2017

LA DÉLINQUANCE EN BRETAGNE

LA DÉLINQUANCE DES MINEURS ÉTRANGERS ATTEINT LA COTE D’ALERTE EN BRETAGNE



« Mineurs délinquants, la cote d’alerte en Bretagne » : non, il ne s’agit pas d’un tsunami ou d’une tempête déferlant sur les côtes bretonnes mais d’un titre du Télégramme du 13 septembre. Comme d’habitude dans la grande presse, celui-ci ne rend pas compte d’un aspect essentiel de cette délinquance : le côté étranger. Il faut attendre le texte de l’article du quotidien morlaisien pour apprendre qu’un grand nombre d’agressions, vols et cambriolages en série sont commis par des mineurs allogènes.
Voici un extrait qui reflète parfaitement ce problème : « Dans la nuit du samedi 2 au dimanche 3 septembre, quatre étudiants viennent d’être roués de coups par trois gamins âgés de 17… 10 et 9 ans ! Trois mineurs étrangers. Compte tenu de leur âge, les deux plus jeunes sont laissés libres et remis à des éducateurs. Le troisième est convoqué devant un juge pour enfants. Deux jours plus tard, il sera à nouveau interpellé, pour la troisième fois en quelques jours, pour un autre délit. »
Et ce cas n’est pas isolé, ce comportement se répète inlassablement dans les grandes villes comme Nantes, Rennes et Brest. Ils se multiplient au point que le directeur départemental de la sécurité publique d’Ille-et-Vilaine pousse un cri d’alarme dans cette même chronique :
« C’est une bombe à fragmentation […] Le problème est très complexe. Nous sommes touchés par des mineurs ou des faux mineurs qui entendent profiter de l’excuse de minorité et qui savent qu’ils ne peuvent pas être expulsés. Il y en a certains pour qui nous parvenons à prouver la majorité mais cela prend du temps et reste difficile à établir. Ces individus nient systématiquement les faits, ne parlent pas et refusent tout examen. »
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Autre souci : depuis un an, ces jeunes se déplacent en s’éparpillant sur tout le littoral :« La trace de certains a été repérée à Saint-Brieuc, Quimper, Caen, Angers, Bordeaux… Ils sont très mobiles et réactifs. Pendant l’été 2016, on les a retrouvés sur les plages de Saint-Malo (35), où ils volaient les sacs des baigneurs. »
Pour finir, ils ne font que croître en nombre. Fin décembre 2015, ils étaient plus de 600 mineurs étrangers criminalisés dans le Grand Ouest et le phénomène ne fait qu’empirer. Face à cette situation gravissime, la responsable du service des mineurs du parquet de Nantes considère que la réponse pénale… ne suffit pas : « Ces enfants sont exploités, sommés de ramener de l’argent. Certains sont drogués, prostitués et violentés […] Ces mineurs se retrouvent victimes et auteurs. »
Un avis que partagent certainement les élus municipaux PS des trois grandes villes bretonnes (Nantes, Rennes et Brest). D’ailleurs, ce n’est pas un hasard si la délinquance juvénile, non nationale, touche la Bretagne. Voilà une région qui continue à voter socialiste. Les délinquants, même s’ils parlent mal le français, ne sont pas bêtes, ils savent que l’idéologie droit-de-l’hommiste leur tolère nombre d’« incartades ».
De plus, Madame le Procureur, j’avoue ne pas comprendre comment, depuis deux ans que la police arrête pratiquement chaque semaine ces délinquants, elle n’a pas pu prouver que des majeurs tirent les ficelles derrière ces adolescents et les trouver ?
Enfin, pourquoi Le Télégramme ne nous informe-t-il pas sur la nationalité de ces mineurs étrangers ? Il serait, ainsi, plus facile de repérer les majeurs manipulant ces bandes.

Aujourd’hui, il est impossible, dans l’ensemble de la France comme en Bretagne, de minimiser ce type de délinquance. Malgré le politiquement correct et le novlangue de certains médias, les citoyens sont conscients du problème sécuritaire gigantesque qu’il représente.